Diététicienne - Nutritionniste
Les graisses : tri entre bonnes et mauvaises
Les graisses alimentaires ont longtemps eu mauvaise réputation. Pourtant, elles sont essentielles au bon fonctionnement de l’organisme. La clé réside dans le choix des graisses consommées et dans leur quantité
Le rôle des graisses dans l’organisme
Les lipides fournissent de l’énergie, participent à la constitution des membranes cellulaires et interviennent dans la production de certaines hormones. Ils sont également nécessaires à l’absorption de vitamines liposolubles comme A, D, E et K.
Les bonnes graisses à privilégier
Les acides gras insaturés sont considérés comme bénéfiques :
Les oméga-3, présents dans les poissons gras, les graines de lin et les noix.
Les oméga-9, apportés par l ’huile d’olive ou l’avocat.
Ces graisses contribuent à réduire le risque cardiovasculaire et ont un effet protecteur sur le système nerveux.
Les graisses à limiter
Les acides gras saturés, présents dans la charcuterie, le beurre en excès et certains fromages, doivent être consommés avec modération. Quant aux acides gras trans, souvent issus de produits industriels, ils sont à éviter car ils augmentent le risque de maladies métaboliques.
Trouver le bon équilibre
Il ne s’agit pas d’éliminer toutes les graisses mais de privilégier les sources de qualité et de varier les apports. La répartition idéale consiste à intégrer un peu de chaque type de graisses en fonction des besoins individuels.
L’accompagnement professionnel
Une diététicienne-nutritionniste comme Clémence Lécaillon peut aider à identifier les habitudes à corriger et proposer des alternatives simples pour équilibrer les apports lipidiques sans renoncer au plaisir de manger.